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Une histoire pornographique (NC-18) XXX

Histoire Complète

SOMMAIRE

CHAPITRE 01 - JUSTE UN BOUCHE TROU

CHAPITRE 02 – DE GRAND BOULEVERSANT

CHAPITRE 03 - CEST LE METIER QUI RENTRE

CHAPITRE 04 - DES PRATIQUES TAXES D'EXCES (PARTIE 1)

CHAPITRE 05 - DES PRATIQUES TAXES D'EXCES (PARTIE 2)

CHAPITRE 06 - JOURNEE SANS CONTRAINTE

CHAPITRE 07 - PAR LA PETITE PORTE

CHAPITRE 08 - DERNIER TOUR DE MANIVELLE

CHAPITRE 09 - UN COUPLE QUI S'AIME

EXTRAIT DU

CHAPITRE 01 - JUSTE UN BOUCHE TROU

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Si peu de différence

Ce qui diffère entre érotique et porno, est juste le point de vue.

Le propos du premier est surtout basé sur la suggestion,

Tandis que le second est plus direct, plus profond et plus cru,

Une caricature qui ne laisse aucune place à l'imagination.

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Mon nom est Pardon, Cédric Pardon. Ma Profession, acteur porno et vous devez m'avoir vu dans de nombreux films, mais je ne suis pas connu, je ne suis qu'une bite parmi la clique des baiseurs professionnels. Cela ne sert à rien de mentir, mais le personnage principal d'un bon film de cul est la personne qui se fait introduire, baiser, dilater et défoncer dans des positions aussi diverses que variées. Celui qui introduit n'est réellement qu'un bouche-trou et c'est le cas de le dire, car c'est mon métier.

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Mais commençons par le début, par une légère digression sur ce qui m'a emmené dans ce métier. Bien avant d'être l'homme que je suis aujourd'hui, j'étais adolescent et n'étais pas plus porté sur le sexe que mes copains de classe. Je me branlais d'une main experte devant des films de cul des sites internet, en fantasmant allègrement d'être à la place de ses hommes, dont j'enviais les prouesses. Une vie d'adolescents modernes ne vivant, ni plus ni moins dans son époque. Puis, vers l'âge de 17 ans, je couchais avec une copine de classe qui me plaisait. Un jour, deux mois après mes 18 ans, j'accompagnai un copain qui avait répondu une annonce dans un magazine de cul, pour un petit rôle. Moi, je comptais jouer les voyeurs. Et c'était partit, arrivés devant le portail d'un petit pavillon cossu de la banlieue ouest-parisienne, on ouvrit le portillon et arriva à la porte d'entrée. Mon copain sonna et la porte s'ouvrit sur une vision de rêve. Une jeune femme qui ne devait pas avoir plus de 24 ans. C'était une jolie brune coupée en carré plongeant, aux yeux bleus clair, en nuisette transparente révélant un soutien-gorge à balconnets qui pigeonner de façon agréable une poitrine normale, mais magnifiquement faite, un tanga en dentelle fendue au milieu, des bas résille à porte-jarretelles et bien sur, le tout coordonné en style et en couleur. En clair, elle était bonne et je bandais à m'en faire péter la braguette.

-C'est vous, l'annonce!

Mon copain sourit timidement.

-Oui, c'est moi!

La jeune femme tourna alors son visage vers moi.

-Et toi, t'es là pour?

Je ne savais pas trop quoi répondre et restais qoi.

-Euh! Fut la seule onomatopée qui me vint à l'esprit!

-Ah, j'ai compris! Tu pensais vraiment que t'allais te rincer l'oeil! Ça va pas le faire, mon con! Soit tu participes, soit tu dégages!... Me dit-elle sur un ton péremptoire.

Puis après quelques secondes.

-...Bon! Tu te décides, mon con!

-Euh, d'accord! Je participe! Réussissais-je à bredouiller.

Puis nous regardant l'un, l'autre.

-Vous avez bien 18 ans ?

Nous acquiessons tout les deux en opinant de la tête et elle continua.

-Vous avez vos analyses de sang et papier d'identité ?

Mon copain lui montra le papier qui lui était demandé et moi, coup de chance, comme quoi parfois les choses sont bien faites, je sortis de mon sac à dos, le précieux document. Ce n'était pas prévu pour cette activité, mais la banque du sang avez détectée une anomalie et m'avez demandé d'aller faire des analyses et de contacter un spécialiste. Les analyses complètes avaient été, à la recherche de toutes les maladies, je les avais faits la veille. Je présentai le papier à la jeune femme.

-Mais, c'est obligatoire? lui dis-je.

-C'est pas obligatoire, c'est indispensable. C'est du hard, alors pas de capote! Et comme j'ai pas envie d'attraper le sida, c'est comme ça et pas autrement...

Puis s'écartant pour nous céder le passage.

-...Bon, entrez !

Noussuivons la jeune femme qui monte au premier étage.

-Bon, les garçons! J'vous raconte le scénario! Dit-elle en poursuivant. Un jeune étudiant invite deux copains. Deux, pour la bonne raison que t'es là, continue-t-elle en tournant la tête vers moi. Tous les trois jouent à la console. C'est alors que j'arrive en pleur après s'être fait larguer. J'ai besoin d'être consolée, cela part rapidement en vrille et je me fait démonter par les trois étudiants...

Elle nous regarde, nous scrute plutôt puis continue.

-...Voilà! Vous voyez, rien de bien compliqué!

C'est alors que, Erwan, mon copain lui dit alors:

-Ça devrait le faire, j'ai une grosse bite!

-C'est pas grave, on fera avec! Répondit-elle du tac au tac.

-Bin, ça vous intéresse pas?

-Pas plus que ça, tant que vous avez une queue de taille normale ou juste au-dessus de la moyenne, c'est bon pour la caméra. Les micropénis ne sont pas non plus trop intéressants. Ce qui est intéressant, c'est les hommes qui bandent à volonté. Mais, pour votre équipement, pfff!... Nous allons voir ça tout de suite. Dit-elle comme désoler pour mon camarade.

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